L’offre de bateaux d’occasion est immense et se déroule essentiellement via des portails internet dédiés sur lesquels les vendeurs proposent leur bateaux. Après que l’acheteur potentiel ait trouvé le “bateau de ses rêves”, il s’agit désormais de s’occuper de l’acquisition du bateau. C’est précisément à partir de ce moment qu’une série d’écueils attendent l’acheteur. Concernant l’évaluation de l’état du bateau, peut-être encore que le fameux ami qui s’y connait en bateaux voudra bien offrir son aide. Reste à voir toutefois s’il peut déterminer sa valeur exacte sur le marché
Plus tard, lorsqu’il s’agira alors des documents relatifs au bateau, celui-là va hélas très probablement s'emmêler les pinceaux. La grande majorité des acheteurs ne s’en sort déjà pas avec les concepts les plus simples. En effet, qui sait seulement ce qu’est le certificat du constructeur, qui l’émet, quand et à quoi sert-il, quel est l’objectif rempli par un DoC, quelle est la signification dans ce contexte du Module C et quelle déclaration se cache derrière le terme “B+C”.
Je vous épargne à ce sujet le listing d’autres exemples. Le fait est qu’il existe ne serait-ce qu’en Allemagne par exemple, une quantité infinie de possibilités pour l’enregistrement de son bateau.
- 38 registres maritimes (registre maritime + registre fluvial);
- 17 voies navigables et agences maritimes;
- Le gouvernement fédéral pour la navigation maritime et l’hydrographie avec son siège à Hambourg et Rostock;
- Un grand nombre d’organismes officiellement reconnus comme l’ADAC, le DMYV ou le DSYV.

- Quel est le pays d’origine des bateaux?
- Où a eu lieu la première immatriculation du bateau?
- Quelle pertinence ont les différents documents dans chacun des pays?
- Quelles conséquences cela a-t-il pour un enregistrement en Allemagne?
